vendredi 28 mai 2010

Taureaumachie parmentier

















Aujourd'hui mes amis, grâce à Tonio, vous allez encore apprendre quelque chose.
Vous connaissez tous mes origines Italo-espagnoles et mon aversion pour la corrida.
Encore une fois, vous allez me dire : je ne vois pas le rapport!
Quoique !!!
Savez-vous ce qu'est une muleta?

Petit tour par Wikipedia :

La muleta est un leurre fait d'un drap de serge rouge monté sur bâton (le palo en espagnol) et réservé à l'usage exclusif du matador pendant la faena. La forme de l'étoffe est ovoïde, fixée et pliée en deux sur un bâton (palillo), long d'une cinquantaine de centimètres, qui possède une extrémité cannelée. L'autre extrémité se termine par une pointe d'acier (pico de la muleta)[1].

Et là, d'un coup, vous apprenez que le chiffon rouge s'appelle une muleta et que le "bonhomme ridicule" qui l'agite s'appelle un matador. Mille regrets Môssieur BIZET le toréador n'existe que dans vos rêves.

Ne sommes-nous pas comme ce taureau imbécile, prêt à foncer sur n'importe quel chiffon?
En plus, il semblerait que les taureaux ne voient pas le rouge.
Moi, si... et j'en ai assez que l'on me prenne pour un imbécile.
Suivez mon regard vers certains hommes politiques, journalistes et autres penseurs bien intentionnés.

En conclusion, encore des paroles de chansons de l'ami Brassens

Rien n'est jamais acquis à l'homme
Ni sa force, ni sa faiblesse, ni son cœur
Et quand il croit ouvrir ses bras
Son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur
Il le broie

Poème de Louis ARAGON

mardi 11 mai 2010

Vive l'outillage...






Je suis convaincu que encore une fois, vous allez me dire, Tonio : "Qu'est-ce que les outils t'ont encore fait?"
Rien dans l'absolu.




Mais, il semblerait que le monde des journalistes, on a découvert les outils.
Un volcan islandais a cloué les avions au sol et la crise a fait dévisser les bourses.
Comme les avions ont décollé à nouveau cela veut dire qu'on a trouvé des énormes tenailles pour ôter les clous et d'énormes tourne-vis pour revisser les bourses.



Décidément, ils sont en mal de métaphores nos journalistes.

Je ne résiste pas à la citation d'une chanson de l'ami Georges Brassens

Pendant les rar's moments de pause,
Où il n' répar' pas quelque chose,
Il cherch' le coin disponible où
L'on peut encor planter un clou (boîte à outils). {2x}
Le clou qu'il enfonce à la place
Du clou d'hier, il le remplace-
Ra demain par un clou meilleur,
Le même qu'avant-hier d'ailleurs.

{Refrain:}
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari qui bricole
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari bricoleur


Autre chose qui n'a aucun rapport, quoique :
"Savez-vous pourquoi Ribery est allé voir les petites dames?"
"Il a joué trop longtemps à Marseille et la devise de l'OM c'est : Droit au P..."